1res rencontres sociales - « Quel acte II pour l’insertion ? »
Toutes les études convergent : l’insertion est en panne. Le revenu minimum d’insertion en est l’illustration : plus de la moitié de ses bénéficiaires n’en est toujours pas sortie après trois ans. Les raisons de ces difficultés sont connues, la plupart résultent de la complexité administrative et de la dilution des responsabilités. C’est pourquoi le nouveau contexte institutionnel, avec l’extension de la décentralisation, devrait permettre d’importantes évolutions.

A un moment où tout le monde s’accorde à revaloriser la notion d’expérimentation, on devrait pouvoir, tout à la fois réformer l’organisation des dispositifs, développer la palette des emplois offerts, et promouvoir les bonnes pratiques qui concourent à l’épanouissement de la vie sociale.
Il faut donc maintenant préciser plus concrètement les pistes d’action pour réussir ce changement. Tel a été l’objectif poursuivi par le Journal de l’Action Sociale et Accor Services dans l’organisation de ces premières rencontres sociale en partenariat avec l’Observatoire national de l’action sociale décentralisée (Odas).
En pièce jointe, consultez les actes de ces rencontres.